Depuis toujours j’ai la chance d’être entouré par des proches sensibilisés aux enjeux environnementaux. Cela m’a permis de passer beaucoup de temps en pleine nature, entre mer et montagne, et de développer une passion pour le monde sauvage. Afin d’assouvir ma curiosité et pour améliorer mes connaissances naturalistes j’ai rapidement pris l’habitude de dévorer différents livres et articles grâce auxquels j’ai pu en apprendre plus sur la biologie et l’écologie de nombreuses espèces. Cette passion dévorante pour la faune n’a eu de cesse de guider mes choix de vie personnelle et professionnelle.
Côté personnel par exemple c’est dans le but de l’assouvir que je parcours la France et parfois les pays étrangers. Mes différents voyages sont ainsi le plus souvent organisés afin de rencontrer telle ou telle espèce. Côté professionnel cette passion a eu un rôle prédominant pour le choix de mon orientation. Ayant commencé mes études universitaires par une licence en biologie marine, je me suis ensuite réorienté sur l’étude des masses d’eau continentales avec un Master en gestion des eaux et milieux aquatiques.
Mon attirance pour l’image est venue de mon envie de partager avec mes proches les observations réalisées lors de mes différentes sorties sur le terrain. C’est à l’âge de 10 ans, dans le très grand jardin de mes grands-parents à Grignan (26), que j’ai réalisé mes premières images avec l’appareil photo compact que j’empruntais (sans jamais lui rendre) à ma mère.
Ces premières images étaient surtout orientées sur la petite faune locale en privilégiant les reptiles, les oiseaux (passereaux) et les stars du jardin les écureuils roux.
Au fur et à mesure des années j’ai acquis du matériel professionnel Nikon. Avec ce matériel je réalise des photos dans différents biotopes avec l’envie depuis quelques années de me spécialiser dans la prise d’images subaquatiques en apnée. Ces milieux que je côtoie au quotidien de par mon travail recèlent d’une grande biodiversité, souvent menacée, que j’aimerais faire découvrir au plus grand nombre.
La réalisation d’images in situ est pour moi le meilleur moyen de sensibiliser le public afin qu’il prenne conscience des enjeux majeurs liés au changement climatique et à l’effondrement de la biodiversité.
“On aime ce qui nous a émerveillé, et on protège ce que l’on aime.”
Jacques-Yves Cousteau
2018-2019 : Master « Science de l’Environnement Terrestre parcours Gestion des Eaux et des Milieux Aquatiques » – Mention Bien (Université d’Aix-Marseille)
2011-2014 : Licence Science de la Nature, de la Terre et de l’Environnement – Parcours Mer – Option Biologie (Université d’Aix-Marseille)
